
INTÉRIEUR
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QUELQUES MOTS
Mon style
J’ai cherché pendant un an avant de trouver cet endroit. Je rêvais d'un lieu atypique, avec suffisamment d’espace pour accueillir mes oeuvres.
Ce fut un vrai coup de foudre pour l’architecture du lieu, une ancienne usine, et ce quartier populaire et vivant que j’adore.
En déco, je privilégie le noir et blanc pour donner la priorité à ce que j’accroche.
J’aime le design, les meubles contemporains comme ceux des éditeurs BB Italia ou Knoll. J’ai un faible pour Silvera : je craque toujours pour quelque chose. Et pour les luminaires c’est Artemide quasi exclusivement.
Sur ma table basse on trouve des bougies parfumées notamment celles de la Compagnie de Provence qui me rappellent Marseille où j'ai vécu et mes magazines : je suis un dingue de presse ! J’ai d’ailleurs un petit rituel quotidien depuis mes 20 ans : je commence ma journée en lisant mes journaux et magazines au café.
Mais évidemment ce à quoi j’attache le plus d’importance chez moi ce sont mes artistes : Jonone, Philippe Pasqua, L’Atlas, Richard Orlinski, Robert Combas, Karel Appel (un des peintres que m’a fait découvrir mon père), Alexandre Nicolas, Ophélia Derely, Toma-L, Nicolas Dubreuille et Jean-Christophe Belaud.
Je vis avec mes œuvres, je les regarde, je leurs parle même ! Et comme je suis un grand fidèle, je ne les change pas souvent.
L’Art, une passion en héritage
J’ai eu la chance d’avoir un père très atypique pour sa génération. Parallèlement à l’entreprise familiale qu’il dirigeait, il avait une passion folle pour l’art contemporain.
Cette passion a été le lien que nous avons tissé tous les deux. C’était notre monde à nous. Et c'est lui qui m’a tout appris.
Dès l’âge de 12-13 ans il m’emmenait voir ses artistes fétiches, Vasarely, Herbin, Appel, le sculpteur Jean Roulland. C’est lui qui m’a fait découvrir la Fiac et Bâle à l’âge de 17 ans. Il a été mon initiateur.
Mon père était dans cette démarche de collectionneur et il m’a transmis son virus !
Cela n’a jamais été pour lui comme pour moi un moyen de spéculation. Je garde toutes mes œuvres. Impossible de m’en séparer.
Une passion exclusive
C’est une passion exclusive et dévorante. Je ne m’ennuie jamais : j’ai toujours une galerie ou une expo à voir.
Mon œil s’est « éduqué » au fur et à mesure que ma passion grandissait. Je me suis formé en allant à la rencontre de galeristes et d’artistes.
Je voue une passion toute particulière aux vanités. Je suis né avec, en quelque sorte, puisque mon père les collectionnait. Je n’y vois rien de morbide mais bien au contraire un « pied de nez » face à la mort qu'elles représentent, soit de façon poétique comme mon crâne de Pasqua avec ses papillons, soit de manière décalé et humoristique comme le crâne « punk » de Brice Mounier.
La mort ne me fait pas peur et sa représentation me parle… Peut être devrais-je consulter, mais pour le moment je vis en parfaitement harmonie avec tout cela !
Découvrez la suite de mon univers ICI
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