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CHRISTOPHE VEROT, CREATEUR DE ROBINSON LES BAINS

UNE HEURE DE RÉVEIL

Je me lève à 6H30, je prépare un "Miam" et je bois une tisane Yogi au citron gingembre.

Après des étirements, je fais environ 1 heure de sport. Je prends une douche et je médite 10 à 15 min avant de partir à vélo au travail.  

Le soir je rentre vers 20H30. Je mets une alarme sur mon téléphone sinon je ne m'arrête jamais !

 

MON PÉDIGRÉE PRO

J’ai toujours eu beaucoup d’attirance pour la création et même si j’ai fait des études de commerce, je prenais des cours du soir aux Beaux-Arts.

C’est à 16 ans après une visite au musée Hermès, que j’ai décidé de travailler pour cette grande Maison. Je leur ai écrit une lettre, j’ai enchainé avec un stage puis différents postes en relation avec le produit et la communication.

J'ai ensuite travaillé 3 ans à New York et quand je suis rentré, j’ai décidé de faire du consulting. Le salariat n’était plus pour moi !

 

ROBINSON LES BAINS

J'ai fondé Robinson les Bains parallèlement à mes activités de consulting, il y a 10 ans. A l’époque, je jouais beaucoup au Waterpolo et j'étais en maillot 4 fois par semaine. Je me suis rendu compte qu’il existait très peu d’offres de maillot pour homme. Et surtout qu’ils étaient pour la plupart très mal coupés.

j'ai alors eu envie de lancer ma propre marque. Nous sommes les seuls à proposer de si nombreuses formes (du mini-slip au long board en passant par le short), nos imprimés sont exclusifs (je les créés tous), et un soin particulier est porté aux doublures (tous nos maillots ont une doublure "seconde peau").

Dès la première collection nous avons vendu à New York, Moscou, Chez Colette et au Bon Marché. J’ai aussi ouvert une boutique Robinson les Bains dans le marais.

 

MES CONSEILS POUR SE LANCER

Il faut savoir suivre son instinct, ne pas toujours trop réfléchir. Mais l'essentiel est d'être bien entouré.

Mon père me disait que certaines compétences sont indispensables pour se lancer : la technique, la gestion et le commercial. Et que lorsqu’on est seul, il faut maitriser au moins deux de ces compétences.

 

UN ATOUT

Ma différence, je la cultive depuis toujours. C'est elle qui a fait toute ma force.

 

DES SACRIFICES

Je manque de temps, j'aimerais pouvoir faire de longs voyages, me couper du monde, comme je le faisais plus jeune. Mais c'est surtout pour mon entourage que les sacrifices ont été importants.

Je crois qu'être entrepreneur m'a enlevé un peu d'insouciance et de spontanéité.

 

SI JE POUVAIS RECOMMENCER

Je ne me lancerais sans doute pas en France et pas seul mais plutôt avec un associé, quelqu’un de complémentaire.

Et puis j'aurais aimé commencer l'aventure plus tôt : à 25 ans plutôt que 37. 

 

MA PLUS GRANDE FIERTÉ

Que les gens aiment mes produits, qu’ils aient du plaisir à les porter alors que je ne suis pas styliste de formation.

 

DE MES ERREURS J'AI APPRIS…

… que je devais vraiment suivre mon instinct. C’est souvent quand je ne l’ai pas fait que je me suis trompé.

 

MON MANTRA

Il ne faut jamais oublier d’où l’on vient pour garder la tête sur les épaules. 

 

MODE CONNECTE 24h/24

OUI et addict !

 

ENFANT JE VOULAIS...

... Un job qui me fasse voyager. Je rêvais d'aventure. 

 

NEXT STEPS

Nommer un Président à ma place pour pouvoir me concentrer sur la partie créative.

Lancer une ligne de sous-vêtements et de maillots pour enfants.

Et surtout m’échapper une semaine par mois à Minorque... !

 

Pour découvrir la suite de mon histoire, cliquez ici :